moi monde photo société mode texte femmes femme
RechercherDerniers commentairesj’ai connu une petite amie de niño de murcia son non de famille c’était medrano elle habitait vitry sur seine
Par Anonyme, le 09.01.2025
bonjour
au cas où vous seriez intéressés je possède deux 45 tours de olivier munoz alias nene (guitare ou c
Par LETELLIER, le 18.09.2021
bonjour pour la première fois je découvre votre blogue vous pouvez me dire commentje pourrais retouver olivi
Par Marie Bancelin, le 10.08.2020
tu n'avais pas le droit de nous faire ça tatou http://mamiebl ue.centerblog. net
Par mamieblue, le 10.03.2017
et bien même pas venir sur son blog après mon message et oui tatou jambo niet la tite parisienne idem et oncle
Par mamieblue, le 19.02.2017
· Les bienfaits du curcuma
· Extrait d'un poème du grand Victor Hugo
· Pour DAN: Photos de Niño de Murcia et de moi en 1958
· Les fêtes de Bayonne 2015
· Réhabilitation de la gare du Pont de Flandre(19è arrdt)
· Branle-bas de combat à Bayonne
· Les vertus du paprika
· Une curiosité dans le Pays Basque
· Marre du peu de solidarité des Terriens!
· Citation: Prendre la mouche!
· "Babouillec" va-t-elle faire des émules?
· Il n'y a pas que le canal Saint-Martin...!
· BONNE FÊTE DES GRANDS-MERES à Maria et Sylviane
· Anecdotes du 1er Mai
· Meilleurs voeux pour 2016
Date de création : 26.02.2015
Dernière mise à jour :
26.12.2016
153 articles
Test
Le lavoir de la rue Maubec, à Bayonne, est situé à l’Oelh de la Houn, un petit chemin perpendiculaire à la rue. Ici s’y retrouvent encore quelques habitants du quartier Saint-Esprit et de la ZUP. ©
Photo Émilie Drouinaud
Si laver son linge à la main a ses détracteurs, la pratique n’est pas abandonnée. Au lavoir de l’Oelh de la Houn, elles sont encore quelques-unes à savonnerQuand le monde court après le temps, la démarche ne coule pas de source. Preuve que si la société de consommation a conquis sans mal la génération Y, les anciens savent montrer quelque résistance à l'emprise des machines sur le quotidien.
La scène se répète depuis plus de quarante ans, à l'Oelh de la Houn. Ce petit chemin descend depuis la rue Maubec, dans le quartier Saint-Esprit. Au bout des escaliers, le lavoir. D'intérêt public. Ici, se retrouvent les cinq ou six dernières lavandières bayonnaises. Elles sont beaucoup plus en été à déployer panière à linge et savon de Marseille.
« Des femmes de Saint-Esprit, et même de la ZUP. On a toujours fait comme ça. » En témoigne Otilia Pinho, 70 ans. Il y a quarante-quatre ans, elle quittait le Portugal pour poser définitivement ses valises rue Maubec. « Je suis plus bayonnaise que portugaise », affirme-t-elle aujourd'hui. Et à Bayonne, quoi de plus naturel que de tordre et rincer son linge au lavoir, dans une ville montée sur l'eau où l'on peut franchir neuf ponts, flâner sur des quais ou dans des rues qui portent le nom de port. Rien de plus paradoxal pourtant, à l'heure où chacun mesure la révolution qu'a accompagnée l'arrivée de la machine à laver dans les foyers.
« J'en ai une, rétablit Otilia Pinho. Mais franchement, je vous assure que ce n'est pas pareil. » Parole de lavandière. La Bayonnaise défend sa pratique surannée, imparable pour obtenir un linge pur, mais refuse d'être photographiée, comme s'il était mal vu au XXIe siècle de camper sur des recettes désuètes. Pourquoi ce besoin de changer ce qui marchait si bien ? La question serait susceptible de soulever l'opinion, consciente du soulagement procuré par le lave-linge dans un emploi du temps trop réglé au cordeau. Mais Otilia Pinho et les autres résistent. Et pourraient donner quelques leçons aux ménagères modernes nourries à l'électroménager.
Indications : « Le blanc et la couleur. On y lave surtout les grosses pièces, comme les tapis, ou les grands draps. » Mode d'emploi : « Le trempage, d'abord. Depuis qu'ils ont enlevé le cuvier, c'est beaucoup moins bien qu'avant. À l'époque, on allait chercher le bois à côté pour faire bouillir l'eau et ça marchait beaucoup mieux qu'aujourd'hui. »
Otilia Pinho parle d'un temps où les six chaudières entouraient le lavoir. Après avoir mis le textile dans la cuve, on le recouvrait de cendres de bois, que l'on arrosait d'eau bouillante. Cela permettait d'absorber et de diluer les taches, avant de frotter et de rincer.
Un procédé long, qui ne décourage pas la Spiritaine. « On a été habitués à laver à la main. Le résultat est incomparable à celui obtenu par la machine à laver. Je me souviens qu'à un moment, la Ville se demandait si elle allait ou pas restaurer le lavoir. Avec les habitants du quartier, nous avons écrit au maire. Heureusement, il n'a pas disparu. » Les lavandières non plus.
Un peu d’histoire
Le lavoir de la rue Maubec date du XIXe siècle. Situé à l’Oelh de la Houn (œil de la fontaine, en gascon), source d’une nappe phréatique, il alimentait le centre-ville en eau potable. Une partie de l’eau de source desservait le lavoir, l’autre était détournée vers la fontaine, sur la place de la République, où l’on venait boire. Le lavoir a été restauré en 1990 par la Ville de Bayonne, mais les six chaudières qui étaient à côté ont disparu depuis. La particularité tient dans la taille de l’édifice, à hauteur d’homme, qui permettait aux laveuses de ne pas trop se plier pour frotter le linge. En lieu et place de l’ancien séchoir se trouvent aujourd’hui des fils à linge. « On a commencé à blanchir le linge quand on a eu conscience des règles d’hygiène, au XIXe, et de l’importance d’assainir le linge, explique Isabelle Dupont, guide-conférencière à la Ville de Bayonne. Les savonneuses s’occupaient du petit linge de corps, tandis que les blanchisseuses, de la grande lingerie, lavaient draps, couvertures, et torchons. Aujourd’hui, c’est un lavoir toujours très utilisé. On le voit à la couleur de l’eau, encore savonneuse. »
J’ignorais que ce lavoir était encore utilisé.
Sources : texte et photo «site Journal Sud-Ouest », images trouvées sur le Web
Coucou Tatou j' ai un problème avec mes yeux alors pas facile de venir sur ton blog dans 2 moi je rentre en clinique pour la pose des clous trous oui mes larmes s'accumulent dans les paupières donc ne t'inquiète pas je te souhaite bonne nuit a demain même si je n'y vois pas trop bien il y aura un tout petit message sur ton blog tite Tatou bisous
http://mamieblue.centerblog.net
heuuuuuuuuuuuuuu mois avec un rire désolé pour la faute mais je vois trouble avec le traitement
http://mamieblue.centerblog.net
Bonsoir Chantal,
Ton dernier commentaire chez moi m'a bien fait rire. Quand tu penses qu'elle lit tout et ensuite m'accuse ça c'est trop fort mdr !
Ah ces fameuses lavandières, il n'y avait pas que les brosses à laver qui marchaient, les langues aussi hi hi hi les bavardages sur les gens ça y allait.
En tout cas ce lavoir est magnifique, un vestige d'un passé pas si lointain.
Je vais un peu mieux, je ne sors pas encore car je suis encore fiévreuse mais bon rien comparé aux autres jours. Je mange presque normalement mais en petite quantité.
Mes enfants se sont bien occupé de Sarah, heureusement qu'elle n'est pas encore en congés.
Et toi comment vas tu ?
Passe une bonne soirée, prends soin de toi, grosses bises Véronique
Ecrire un commentaire